Étude du microbiome endométrial
Qu’est-ce que l’étude du microbiome de l’endomètre?
La cavité utérine n’est pas une cavité stérile. Les changements hormonaux, principalement les œstrogènes et la progestérone, favorisent la croissance des lactobacilles. Le microbiome du système génital féminin (ensemble des bactéries qui y sont présentes) est caratérisé par la présence de ces bactéries. On a mis en évidence une corrélation entre les résultats indésirables des techniques de procréation assistée et un microbiote endomètrial pauvre en lactobacilles.
Technique
Un nouveau test, appelé EMMA, a récemment été développé. Au moyen de techniques de séquençage génétique massif (NGS), il nous permet de savoir si les taux de lactobacilles sont favorables et de proposer des recommandations pour optimiser la flore endométriale, optimisant ainsi l’implantation embryonnaire.
D’autre part, le test ALICE permet de détecter la présence de bactéries pathogènes au niveau de l’endomètre. Ces bactéries peuvent provoquer une endométrite chronique (inflammation du tissu endométrial), associée à des fausse-couches à répetition et à un échec d’implantation. Il a été démontré que le traitement antibiotique de cette entité permet dans ces cas de restaurer le microbiome endométrial et d’améliorer les taux de gestation.
Dans les deux cas, un échantillon de tissu endométrial est prélevé lors de la consultation, puis congelé et analysé au moyen de NGS.
Questions sur Traitements de reproduction
Si necesitáis más información sobre nuestros tratamientos, estamos a vuestra disposición.
Combien de temps s’écoule jusqu’à commencer le traitement?
Si le diagnostic est clair, le traitement peut commencer immédiatement.
Dans tous les cas, il peut être programmé le mois qui convient le plus au couple. Dans le cas de réceptrice d’ovules, le temps d’attente est de un à deux mois.
Combien de tentatives je dois faire?
Dans le cas de l’insémination artificielle, notre centre recommande un máximum de quatre tentatives, puisque le 90 % des grossesses se produisent dans les quatre premiers cycles.
Quant à la fécondation in vitro ou microinjection, notre centre ne réalise jamais plus de quatre tentatives avec ces techniques.
Dans le cas du don d’ovules, il est plus difficle d’établir une limite, elle será déterminée par des facteurs de type psychologique ou bien économique.
Ces techniques peuvent être utilisées quand nous sommes entrées dans la ménopause?
Oui. De nos jours il est possible d’être mère après la ménopause, que ce soit physiologique par insuffisance ovarienne, ou après un traitement de maladies néoplasiques. Dans ces cas là, il faut recourir à la réception d’ovules d’une donneuse.
Quelles sont les principales préoccupations des couples récepteurs d’ovules ou de spermes?
L’anonymat est ce qui inquiète le plus, et à la Clinique Fertia il est absolument garantie. Dans tous les cas, même si ils acceptent la réalisation de la technique, ils désirent la plus grande discrétion. Et bien sûr, l’état de santé des donneurs les inquiète et la ressemblance physique avec eux. Dans notre centre, aussi bien dans le cas des donneurs de sperme que dans le cas des donneurs d’ovules, nous recherchons que la ressemblance physique soit aussi grande que possible avec les parents.
Ces traitements sont chers?
Clinique Fertia est un pionnier dans le maintien d’une politique honnête et claire. Nous publions l’information de nos prix de traitements depuis 2002 dans notre page web.